Thème: le leadership de la femme enseignante en période de crise sanitaire de la Covid 19
Exposé de Prof Dr Philomène LUNGU ANZWAL KAUMBA
Approche immunothérapeutique contre le Covid-19. Traitement immunothérapeutique BELA-UNILU. 20 : Combinaison des interférons de type 1 et 2 boostés par la chloroquine et les antioxydants
ABSTRACT
Objectif. Dans le contexte de la pandémie actuelle de la COVID-19, les stratégies de recherches de thérapies efficaces préconisent l’approche dite « repositionnent thérapeutique », c’est-à-dire l’utilisation de molécule existantes sur le marché pharmaceutique, dont on connaît la toxicité etu l’efficacité thérapeutique.
Méthode.
L’immunothérapie proposée dans cette étude consistait dans l’utilisation de trois molécules bien connues et utilisée dans des thérapies diverses, à savoir : l’interféron de type 1 (IFN(, () et l’interféron de type 2 (IFN(), la chloroquine (chloroquine phosphate) et des antioxydants [Vitamines A, C, E, oligoéléments (sélénium et zinc), lycopène (carotène)]. Le traitement visé par cette étude avait une visée de type préventif (prophylaxie) et curatif non spécifique de l’agent infectieux mais ciblant la réponse innée du patient.
La cohorte choisie était constituée de 122 patients testés positif par RT-PCR (infection au SARS-Cov 2) dont 89 asymptomatiques et 43 symptomatiques (COVID-19).
En raison du caractère compassionnel de cette approche thérapeutique, les âge, sexe étaient aléatoires. Quatre types de traitement utilisant une approche multi thérapie appliquée pour une durée de cinq jours ont été retenus.
L’équipe médicale chargée du protocole a été soumise dans un but prophylactique à un traitement multi-thérapeutique de trois jours combinant interféron alpha de type 1 (IFN(, (), chloroquine (Nivaquine®) et antioxydant ( Hercule®).
Résultats. 132 participants ont reçu un traitement de type multi-thérapie à titre préventif pour 10 sujets et comme traitement curatif pour 122 patients.
Tous les participants ont été testés RT-PCR, les 122 patients ont été testés positifs avant traitement et les 10 sujets traités en prévention ont été teste négatif avant traitement. Après une à deux semaines tous les participants ont été testes par SARS-Cov 2 RT-PCR et se sont révélés négatifs.
Le suivi clinique à plus de 3 mois et la pratique de tests de dépistage SARS- CoV-2 répétés sont restés négatifs chez les participants traités en préventif.
Conclusion:
L’efficacité thérapeutique des traitement utilisés semble concluante et nécessiterait une étude avec cohorte de contrôle pour évaluer l’efficacité des multi-thérapies proposées.