Par Andy Mbengay
La Journée mondiale de l’environnement demeure l’occasion de mettre en lumière combien nous sommes, toutes et tous, tributaires de la nature et de la santé de notre planète.
Cela étant, l’environnement est plus que jamais mis en péril par l’activité humaine, y compris l’exploitation minière.
Les opérations minières consomment une grande quantité d’eau et d’énergie. Elles perturbent des terrains naturels, qui constituaient l’habitat de nombreuses espèces et de nombreux écosystèmes.
En effet, les sociétés minières doivent regarder plus loin et considérer les aspects les plus vastes des notions de durabilité ou de viabilité.
Consciente de la menace, qui pèse sur notre existence et, parce qu’il n’y a pas de temps à perdre au regard du combat que nous devons tous mener, notre société s’attend, aujourd’hui, que l’exploitation minière s’effectue selon des normes de protection de l’environnement plus strictes qu’auparavant.
Parce qu’elles contribuent, de manière proactive, aux sociétés et aux collectivités dans lesquelles elles sont actives, elles sont dans l’obligation de rendre aussi compte de leurs activités, conformément aux meilleures pratiques.
En effet, elles doivent faire preuve de responsabilité environnementale, en améliorant celles-ci par leur coopération avec les communautés locales. Du fait de la dimension humaine, qui veut que l’on place l’homme au centre de toute action selon le vœu même du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi.
Tous ensemble, pour la restauration de nos écosystèmes.