RDC: le règlement d’ordre intérieur sera élaboré ce Lundi par les députés nationaux !

Par Andy Mbengay

Ce lundi 19 février 2024, le bureau d’âge de l’Assemblée nationale convoque une assemblée plénière pour amorcer l’élaboration et l’adoption du règlement d’ordre intérieur de cette nouvelle législature à la chambre basse du parlement.

Le premier secrétaire du bureau provisoire, le député Serge Bahati l’a dit dans un communiqué officiel signé, le samedi dernier.

Pour rappel, l’adoption du règlement intérieur constitue l’une de trois missions conférées à ce bureau d’âge lors de son installation par le secrétaire général du Palais du peuple.

Il s’agissait de valider le pouvoir des députés nationaux élus, adopter le nouveau règlement d’ordre intérieur et installer le bureau définitif de cette chambre.

37ème sommet ordinaire de l’Union Africaine à Addis-Abeba : Félix Tshisekedi participe à ce grand rendez-vous !

Par la rédaction

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo s’est envolé, ce vendredi 16 Février 2024, pour Addis-Abeba où il est appelé à participer au 37ème Sommet ordinaire de l’Union africaine, qui débute ce samedi.

Le chef de l’état effectue donc son premier déplacement à l’étranger depuis sa réélection en décembre avec 73,47% des voix à la tête de la magistrature suprême de la République Démocratique du Congo.

En Ethiopie, le 37e sommet des chefs d’État de l’Union africaine va s’ouvrir dans un contexte difficile entre nouveaux coups d’État, crise au Sénégal et tractations pour la présidence tournante.

Dans la capitale éthiopienne, le chef de l’état Congolais va également participer au mini-sommet extraordinaire convoqué par le Président Angolais, Joao Lourenço sur la situation sécuritaire à l’Est de la RDC, prévu ce vendredi.

Élections des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-Gouverneurs de province en RDC, l’APLC va mettre un numéro vert pour recevoir des dénonciations

Par Andy Mbengay

Le Président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, a échangé, mercredi 14 février 2024, avec Michel-Victor Lessay, Coordonnateur a.i. de l’Agence de Prévention et de Lutte contre la Corruption (APLC). Lors de ces échanges, les questions liées aux élections à venir concernant essentiellement la mise en place des Sénateurs, des Gouverneurs et Vice-Gouverneurs de province.

Le Coordonnateur de l’APLC s’est réjoui de la qualité des échanges jugés instructifs et fructueux qu’il a eu avec le Président de la CENI, Denis Kadima Kazadi.

« La CENI, c’est en fait l’institution en charge de l’organisation des élections : en somme l’institution mère qui engendre les autres institutions. C’est donc de par le travail de la CENI que les autres institutions sont mises en place. Nous avons considéré que c’est tout à fait naturel et normal que les responsables que nous sommes puissent approcher la hiérarchie de la CENI pour échanger sur un certain nombre de sujets. J’ai eu des échanges assez instructifs et fructueux avec le Président de la Centrale électorale, Denis KADIMA. », a indiqué le Coordonnateur de l’APLC au sortir de cette audience.

Cette entrevue intervient à la veille des échéances futures notamment les élections imminentes des Sénateurs, Gouverneurs et Vice-Gouverneurs de province.

L’hôte du numéro un de la CENI a annoncé la mise à disposition d’un numéro vert en vue de décourager toute tentative de corruption.

« Je pourrais dire qu’il n’est jamais trop tard pour mieux faire. L’essentiel, c’est de commencer. Nous avons échangé avec le Président Denis Kadima en ce qui concerne les échéances à venir. Nous avons des élections des Sénateurs ainsi que celles des Gouverneurs et de Vice-Gouverneurs de province qui pointent à l’horizon. Et généralement les expériences du passé nous enseignent que ce sont des occasions de corruption à grande échelle. C’est pourquoi, nous avons, dans le cadre de notre mission de prévention, essayé d’aborder cette question. C’est l’occasion pour nous de lancer un appel à tous ceux qui voudront s’adonner à cette pratique décriée : c’est-à-dire monnayer les voix, essayer de corrompre par-ci par-là pour être élus. L’APLC sera vigilante et va veiller au déroulement de ces élections. Et d’ailleurs, nous mettrons à la disposition de la population un numéro vert pour recevoir des dénonciations éventuelles de la part en vue de dénoncer toute velléité de corruption de la part d’un ou des acteurs politiques auteurs de ces pratiques. », a-t-il martelé.

L’APLC est un service spécialisé au sein du cabinet du Président de la République, et placé sous son autorité. Elle est l’autorité nationale de référence en matière de lutte contre la corruption en RDC. Elle a été créée le 13 mars 2020 en conformité avec la Constitution et dans l’option levée par les Nations-Unies, l’Union africaine et la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).

Dans le cadre de la lutte contre la corruption, l’Agence coordonne également tous les services et organismes publics en charge de la lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux, la criminalité organisée et les infractions y assimilées.

RDC: le Cami et la DGRAD invitent les titulaires des droits miniers et/ou de carrières à retirer les notes de débit et de perception exercice 2024 aux guichets Cami

Par Andy Mbengay

Dans un communiqué officiel datant du 13 Février 2024, contresigné par le Directeur Général Adjoint du Cadastre minier, Jacques Muyumba et celui de Mr Doudou Mfwamba Lukunde respectivement Directeur Général Adjoint chargé des questions Techniques à la Direction Générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales, et de Participations dont une copie est parvenue à ActuCongo.net, le Cami et la DGRAD informent tout de même les titulaires des droits miniers et/ou de carrières que les notes de débit de perception relatives aux Droits Superficiaires annuels pour l’exercice 2024 sont disponibles aux guichets du Cami dans différentes villes provinces, notamment, Kinshasa, Lubumbashi, Kisangani, Bukavu ainsi que le Kindu.

À Kinshasa, par exemple, le Cadastre minier est situé au croisement des avenues Mpolo Maurice et Kasa-vubu dans la commune de la Gombe.

Ci-dessous, l’intégralité de ce communiqué

En rappel, le dit communiqué précise que la date limite du paiement desdits droits est donc fixée au 31 Mars 2024. Passé ce délai, le Cami se réserve le droit d’enclencher la procédure de déchéance du droit minier et/ou de carrières non payées et ce, sans préjudice de l’application, par la DGRAD, des pénalités prévues par la loi.

Huawei RDC certifiée Top Employer 2024 : Une reconnaissance de l’excellence en matière de travail

Le Top Employers Institute a récemment dévoilé la liste des entreprises certifiées Top Employer. Pour la quatrième année consécutive, Huawei se distingue en recevant la certification Top Employer Régional en Afrique. Cette reconnaissance s’étend également au niveau national, où l’entreprise a obtenu ce titre dans 10 pays, y compris la République Démocratique du Congo. Chaque année, le Top Employers Institute, une référence mondiale en matière de reconnaissance de l’excellence des pratiques en ressources humaines, reconnaît les entreprises qui s’engagent à créer le meilleur environnement de travail possible pour leurs collaborateurs, en adoptant des politiques et des pratiques RH plaçant l’humain au cœur de leurs préoccupations.

Cette certification est le résultat d’une évaluation rigoureuse des pratiques ressources humaines de Huawei RDC, qui a porté sur six domaines clés : la stratégie ressources humaines, l’environnement de travail, l’acquisition de talents, la formation et le développement, la gestion des performances, la rémunération et les avantages. Ici, on peut citer la plateforme de formation iLearning pour le développement de carrière des employés ; les récompenses en termes de bonus et médailles de mérite aux agents avec les performances remarquables, la célébration des fêtes d’anniversaire des agents ou tout autre fête importante en interne afin de maintenir une ambiance conviviale du travail.

En plus de ses pratiques ressources humaines, Huawei s’investit activement dans le développement de l’écosystème des talents en RDC. L’entreprise a lancé les programmes Seeds for the future et Future Cheetahs pour les étudiants ainsi que les professionnels en dehors de l’entreprise.

« Je tiens à remercier toutes les équipes dévouées de Huawei qui s’investissent chaque année pour obtenir cette reconnaissance contribuant ainsi à asseoir la réputation de Huawei comme un employeur de référence en Afrique » a ajouté Jeremy LIN, Vice-président exécutif de Huawei Northern Africa. Poursuivant ,« Nous mettons résolument l’humain au cœur de notre stratégie, accompagnant nos équipes dans la réalisation de leur plein potentiel. Nos collaborateurs font notre réussite, et tous ensemble, nous avons pour ambition de façonner un avenir prometteur pour l’Afrique, encourageant les jeunes talents africains à rester sur le continent pour contribuer à sa croissance ». « Recevoir pour la quatrième année consécutive cette distinction témoigne de notre engagement constant envers la promotion du bien-être de nos collaborateurs et notre détermination à instaurer un environnement de travail privilégié. C’est le reflet de notre ambition sociale, chez Huawei, axée sur l’impact local en Afrique », a ainsi affirmé Andy DU, Directeur des Ressources Humaines de Huawei Northern Africa.

David Plink, Président-Directeur Général du Top Employers Institute, a quant à lui déclaré :

« Les périodes exceptionnelles font ressortir le meilleur des individus et des organisations. Et nous l’avons constaté cette année dans le cadre de notre Programme de Certification des Top Employers. Les employeurs certifiés ont réalisé des performances exceptionnelles, démontrant un engagement constant envers le développement et le bien-être de leurs collaborateurs, et contribuant ainsi de manière collective à l’enrichissement du monde du travail. C’est aujourd’hui avec fierté que nous dévoilons et célébrons les employeurs de choix de cette année, ceux qui placent leurs collaborateurs au centre de leurs actions : les Top Employers 2024 ».

Top 10 des femmes Ministres du gouvernement Sama II présenté par Pourelle.info: Esther MPezo Omba explique les critères

Par Tyty NGalenge

Le premier média des femmes en République Démocratique du Congo, POURELLE.info a rendu public le Top 10 des femmes Ministres du gouvernement Sama II. Un classement qui présente les réalisations de chaque Ministre femme au sein de l’exécutif national.

Au regard de leurs assignations, toutes les femmes Ministres ont travaillé pour l’amélioration des conditions de vie des Congolais mais 10 en ont encore fait mieux et méritent de figurer dans ce Top 10.

Esther MPezo Omba, Directrice de Publication de ce média spécialisé sur l’actualité des femmes nous en dit plus sur ce classement.

1. Madame dites nous, c’est quoi le Top 10 des Femmes ministres et pourquoi ce magazine ?

R. Vous savez que le 1er média des femmes POURELLE.INFO travaille pour la promotion de la femme à travers les médias. Donc, le Top 10 des Femmes Ministres ne peut être qu’une branche de ce grand Groupe qu’est POURELLE. Ce magazine présente les actions/les réalisations matérielles et immatérielles des femmes dans l’exécutif national de la République Démocratique du Congo.
Pourquoi ce magazine ?

Vous savez que jusqu’à présent la parité dans notre pays n’a pas encore atteint les 50% prévu dans la constitution, donc les femmes sont moins représentées dans les différents Gouvernements qui se succèdent. Sur 52 membres du Gouvernement Sama Lukonde II, il n’y a que 16 femmes, Ministres et Vice-Ministres compris. Ceci nous a motivé à initier ce classement pour mettre en lumière les grandes réalisations et les efforts des femmes Ministres, ayant fait preuve des réalisations innovantes à impact socialement significatif. Question de faire également savoir que les femmes ne sont pas moins efficaces dans ces postes. Ceci pourra peut-être amener à la nomination de plus des femmes au sein du gouvernement ou dans d’autres services du pays, les femmes compétentes existent dans ce pays.

2. Quel est le but de ce Top 10 ?

R. Le but de ce Top 10 est non seulement d’encourager les Ministres femmes à fournir davantage d’efforts, chacune dans son secteur, mais aussi d’aider la population à connaître les actions menées par ces dernières, parce qu’elles ont l’obligation des résultats, même si l’on sait qu’elles travaillent dans un contexte de fois difficile, et chaque femme dans un rythme donné.

3. Alors elles sont 16, vous vous ne sélectionnez que 10 Ministres. Quels sont les critères qui ont fait tomber les autres? et ce classement se fait en présentant la meilleure de toutes jusqu’au dixième ou comment?

R. D’abord, le Top 10 ne fait pas un classement du premier au dernier
des ministres, puisque les assignations des unes sont différentes de celles des autres, et les secteurs se diffèrent. Se retrouver dans le Top 10 signifie simplement qu’elles ont été plus actives et leurs actions ont un peu plus impactées que celles des autres. Dans le magazine elles sont classées selon leur préséance dans le Gouvernement. Nos critères sont, l’appropriation des assignations, la compétence et l’impact social des actions menées.

4*. Combien paie chaque Ministre pour se retrouver dans le Top 10? Nous savons comment ces choses se passent.

R. Madame, ceci n’est pas dans notre manière de faire. Aucune femme Ministre n’a été contacté pour payer quoi que ce soit pour être aligné dans le TOP 10. Je rappelle que POURELLE.INFO travaille pour la visibilité des femmes dans tous les domaines de la vie, vous le savez. Nous avons passé en revue leurs réalisations qui ne sont presque pas connues du Grand public et l’impact de celles-ci. Nous avons également fait un sondage auprès de la population congolaise sur chacune des femmes Ministres.

5. Un message ?

R. Juste demander aux femmes dans l’exécutif national et provincial de mieux communiquer sur leurs actions menées et qui ont un impact social, que de nous parler  seulement de leurs audiences. Ceci permettra à la population de maîtriser les assignations de chacune et d’éviter des critiques sans fondement. Et à nous les médias de faire large diffusion de ce que les femmes ministres arrivent à réaliser pour permettre à chaque congolais de comprendre les responsabilités réelles des ministres.

La Direction de Publication de POURELLE.info, Esther MPEZO OMBA, donne le prochain rendez-vous du Top 10 à l’issue des 100 jours du gouvernement qui sera bientôt formé.

RDC : Antoinette N’Samba Kalambayi dans le Top 10 des femmes Ministres du Gouvernement Sama II

Par Andy Mbengay

Pourelle.Info, premier média des femmes en République Démocratique du Congo a rendu public le top 10 des femmes Ministres du Gouvernement Sama II. Un classement qui présente les réalisations palpables de chaque Ministre femme au sein de l’exécutif national.

Ayant servi le pays avec dévouement exaspérée, la Ministre nationale en charge des mines, Antoinette N’Samba Kalambayi est classée dans le Top 10 des femmes Ministres issues du gouvernement Sama II. Une façon pour ce média en ligne « Pourelle.Info » de témoigner un amour indéfectible envers la patronne des mines.

D’après Mme MPezo Omba, Directrice de publication, le but de ce top 10 est non seulement d’encourager les Ministres femmes à fournir davantage d’efforts, chacune dans son secteur, mais aussi d’aider la population à connaître les actions menées par ces dernières, d’autant plus qu’elles ont l’obligation des résultats, même si l’on sait qu’elles travaillent dans un contexte de fois difficile.

En rappel, la Ministre des mines, Antoinette N’Samba Kalambayi au regard de ses assignations a tout de même fait appliquer à la loupe, le Code et règlement minier.

Guerre à l’Est : les manifestants ont pris d’assaut plusieurs coins de la ville province de Kinshasa !

Par la rédaction

Ce lundi 12 Février dans la matinée, le centre-ville de Kinshasa affichait un visage inhabituel avec de nombreuses fermetures de magasins et commerces. Conséquence des appels à manifestations circulant la veille sur les réseaux sociaux.

De la rue du Commerce à l’avenue du 30 juin, en passant par les abords de l’hôtel Memling, les rideaux de fer sont restés baissés par précaution. Les responsables d’établissements craignaient des dégradations ou pillages en cas de tensions.

Seules les petites activités comme les cabines téléphoniques ont bravé « le risque » en ouvrant. Des pneus ont même été brûlés avenue Bokasa, signe que la mobilisation projetée inquiétait.

Ainsi, ces appels intervenaient dans un climat de défiance envers la communauté internationale, accusée par la population de faire preuve de passivité face aux attaques du M23 soutenu selon Kinshasa par le Rwanda.

Le centre économique de Kinshasa présentait donc un visage de ville morte, reflétant les craintes d’une escalade après les récentes manifestations anti-occidentales.

RDC: Pour «manquement aux devoirs de dignité et d’honneur», Théodore Ngoy radié du Barreau du Kwilu !

Par Politico.cd/titre de ActuCongo.net

Le candidat malheureux à la présidentielle du 20 décembre dernier, Maître Théodore Ngoy est radié du Barreau du Kwilu par le Conseil de l’Ordre des avocats de cette province. Cette décision a été prise par le Conseil de l’Ordre du barreau du Kwilu, siégeant en matière disciplinaire qui a statué sur six dossiers et a requis des lourdes peines à l’encontre des quelques avocats.

Dans une correspondance datée du 27 janvier dernier, Théodore Ngoy est reproché des «manquements aux devoirs de dignité et d’honneur» vis-à -vis de ses pairs.

« Je porte à votre connaissance que le Conseil de l’Ordre du Barreau du Kwilu (Bx Barreau de Bandundu) a, au cours de sa réunion tenue ce samedi 27 janvier 2024 à Kikwit, rendu des décisions en matière disciplinaire et pris les sanctions suivantes à l’encontre des avocats », lit-on dans un communiqué rendu public par le Barreau du Kwilu.

Sur les six avocats sanctionnés, trois ont été radiés, deux ont été suspendus pour six mois et un avocat pour un mois. Cette décision du conseil de l’ordre est consécutive aux multiples plaintes introduites au conseil par non seulement les justiciables mais aussi par les magistrats à la suite du comportement «véreux» de ces avocats.

À en croire le Conseil de l’Ordre, ils ont été sanctionnés conformément à l’article 86 de l’ordonnance-loi du 28 septembre 1979 portant organisation et fonctionnement du barreau, du corps de défenseurs judiciaires et de mandataires de l’Etat qui dispose que : « Toute contravention aux lois et règlement, toute infraction aux règles professionnelles, tout manquement à la probité, à l’honneur ou à la délicatesse, même se rapportant à des faits extra-professionnels exposent l’avocat qui en est l’auteur aux sanctions disciplinaires»

Assemblée nationale : le bureau Mboso reçoit déjà les rapports des commissions de vérification des pouvoirs

Par Celcom/Assnat

Le bureau provisoire de l’Assemblée nationale, sous la conduite de son président, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, assisté de deux secrétaires, a procédé, Jeudi 8 février 2024 dans la salle des Congrès du Palais du peuple, à l’évaluation des travaux de 26 commissions de vérification des pouvoirs des députés provisoirement élus. Ce travail se fait province par province bien auparavant, Christophe Mboso a rappelé aux membres des bureaux des commissions les 3 missions essentielles de la session extraordinaire, notamment la validation des pouvoirs, rédaction du Règlement intérieur et, enfin, l’installation du bureau définitif.

Par ailleurs, le président du bureau provisoire a demandé à différents bureaux de présenter la situation générale, aucune difficulté n’a été rencontrée, sauf quelques cas des omissions, de manque de logos ou de photos qui ont été vite réglés.

La province de Maï-Ndombe, qui devrait en principe examiner les dossiers des élus du Kasaï Oriental, a été absente et la solution a été trouvée séance tenante.

A l’issue de cet échange avec les bureaux des commissions de vérification des pouvoirs, Christophe Mboso s’est exprimé en ces termes :

« Je suis venu rencontrer les 26 commissions qui ont pour mission de vérifier les pouvoirs des députés. Beaucoup de commissions ont terminé le travail, d’autres ont même déjà déposé leurs rapports au bureau et d’autres encore sont en train de rédiger les rapports pour les adopter ce soir ou demain matin. En général, tout a été bien fait. Le lundi 12 février, nous pourrons avoir une plénière parce que nous aurons déjà sur notre table tous les rapports. Ils ont travaillé sur les vérifications des pouvoirs ».

Avant d’ajouter ces précisions pour le Maï-Ndombe qui devait examiner les pouvoirs des députés du Kasaï Oriental.

« Nous avons trouvé la solution. Nous avons mis en place une commission qui va se charger de ce dossier, ainsi que celui des collègues de Lualaba, où il y a eu un déficit de membres. Nous avons trouvé des solutions et celà a été réglé. Les collègues que nous avons envoyés dans ces commissions ont siégé et ils ont terminé le travail ».