RDC: clôture de l’atelier sur l’impact du taux de valorisation des produits miniers marchands sur le rapatriement des recettes d’exportation, cas de l’hydroxyde de cobalt

Le Directeur de Cabinet, Léon Kaseya, représentant personnel de la Ministre des mines a clôturé l’atelier sur l’impact du taux de valorisation des produits miniers marchands sur le rapatriement des recettes d’exportation, cas de l’hydroxyde de cabalt au Roméo Golf à Kinshasa-Gombe, le vendredi 11 juin dernier.

Tout en saluant les efforts consentis par ces experts miniers, Monsieur Léon Kaseya invite cependant ces derniers, de s’approprier des recommandations prises.

 » Durant deux jours, les experts de la présidence de la République, du gouvernement et ceux des organismes privées en l’occurrence Akili Consulting Sarl, Association congolaise des banques et représentant des entreprises minières ont participé sans relâche aux travaux dudits atelier. La participation active de toutes les parties prenantes subventionnés a démontré l’intérêt qu’ils attachent au développement du secteur minier. Il ressort que les sous-thèmes développer ont été d’une importance capitale et toutes les recommandations seront prises en comptes  » a-t-il déclaré.

En effet, les experts de la présidence de la République ainsi d’autres partenaires oeuvrant dans le secteur minier qui ont réfléchi à vive voie sur les conséquences chiffrées des taux de valorisations, le rapatriement des recettes d’exportation au regard des différentes pièces, taxes et pénalités y afférents, promets de tout mettre en exergue.

Cet atelier purement technique s’est déroulé autour de cinq thèmes à savoir, la détermination indicatif du prix de vente de l’hydroxyde de Cobalt par l’État congolais à travers la mercurielle, élément pris en compte et impact sur la vente dans les places internationales, l’analyse du processus d’exportation et de vente de l’hydroxyde de Cobalt, de la production en passant par la souscription d’une déclaration d’échange au niveau de banque commerciale à son apurement.

À en croire, Richard Mpongo Ludiongo, Directeur Général de Akili Consulting Sarl, ces assises de deux jours avaient aussi pour but de revoir la procédure d’établissement des certains documents, dont le certificat de vérification à l’exportation et à l’embarquement pour notamment permettre de certifier les réelles valeurs de vente qui interviennent quelque jour après et par mois. Cela va aider l’État congolais de bien calculer ainsi qu’aux experts miniers de présenter des situations conformes à la réalité des ventes sur les places internationales.

Pour lui d’ajouter que , l’une des recommandations est aussi de travailler sur l’harmonisation des éléments à prendre en compte pour la détermination du poids sec et humide.

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