Q. Bonjour Dr Henry Kisoki?
R. Bonjour Mr le Journaliste
Q. Vous enseignez aussi à l’ISIPA?
R. Mr le Journaliste, je suis corps académique à l’Institut Supérieur d’Informatique Programmation et Analyse depuis l’année 2004.
Q. Comment avez-vous apprehendez le décès du PDG Martin Ekanda ?
R. Avant celà, je dois vous dire que j’ai l’est appris avec beaucoup de consternation par la voie des ondes plus précisément à de la chaine nationale, la mort de Président Directeur Générale de l’ISIPA Martin Ekanda vraiment j’étais choqué du fond de mon coeur, puisque je suis au sein de l’ISIPA depuis 2004, il m’a connu comme Assistant premier mendant (Ass.1), deuxième mendant (Ass.2), chef des travaux et actuellement comme Dr à thèse. Et, pendant qu’il se préparé pour me présenter devant le corps académique et scientifique comme Dr à thèse au sein de cet Alma mater subitement l’état d’urgence a été décréter suite à la covid-19, Hélas vers 12 heure de ce vendredi 17 juillet que la nouvelle m’est parvenu, Je suis triste.
Q. C’est depuis très longtemps que vous êtes à l’ISIPA, quels sont les tâches qui émanent de votre responsabilité ?
R. Comme je suis spécialiste en télécommunication, j’assume les charges horaires de télécommunication, hyper fréquence et la télévision.
Q. Vous dispensez les cours dans quelle promotion et filière au sein de l’Institut Supérieur d’Informatique Programmation et Analyse ?
R. Je dispense les cours dans la promotion de TM 2, TM 3, lorsqu’on parle de ça, il s’agit de deuxième graduat (G2), troisième graduat (G3) et je dispense aussi en première licence (L1) réseau et administration.
Q. Parlons de la personnalité de Martin Ekanda, gardez-vous quelques valeurs intrinsèques de lui, qu’ à ce jour vous pourriez vulgariser dans les jours à venir ?
R. Mr le Journaliste, c’était une personne de gros coeur, au cours de nos différentes réunions vraiment il écoutait beaucoup plus les revendications de corps académique et scientifique afin de trouver une solution adéquate donc l’homme ne parlé pas trop, l’essentiel pour lui était de sauvegarder l’amour, l’unité et la détermination dans cette lourde charge, d’ailleurs le seul soucis majeur, c’était de faire l’ISIPA une grande institution scientifique au niveau de l’Afrique pourquoi pas au niveau international raison pour la quelle à ce stade nous disposons déjà trois sites au niveau de Kinshasa.
Il y a les sites de Shaumba, celui de Mushi, de Kitega et récemment il ya eu réouverture de site de Matete, nous sommes aussi dans la province du Kongo-central, il envisageait étendre dans plusieurs provinces de la RDC, mais la mort est arrivé , bon je crois que c’est ne pas la fin, à son côté, il avait une dame de faire Mme Rufine, je crois qu’ elle doit prendre les choses en main pour vraiment faire réorner encore l’image de l’ISIPA.
Q. Pensez- vous qu’ après sa mort, la vision restera éternelle puisque l’ISIPA sur le plan informatique est compté aussi parmis les institutions qui émerge , est-ce que sa femme mérite ?
R. Mais après sa mort, je ne crois pas que ça sera la fin de l’ISIPA, et cette institution doit continuer, puisqu’à se côté c’est-à-dire sa femme, Mme Rufine est capable de sauvegarder cette vision si grandiose, elle a un savoir faire de haute classe et qualité, l’oeuvre laissée par son mari sera continuelle et l’ISIPA existera toujours.
Q. Un dernier message à vos collègues corps académique et scientifique ainsi qu’à sa famille biologique?
R. Au corps scientifique et académique, je crois que nous devrions caractérisé notre amour en restant un (1) et indivisible pour sauvegarder notre alma mater qui est l’ISIPA, pour que nous puissions réorner encore afin de rependre ce que le defunt Martin Ekanda nous disaient chaque fois au cour de nos différentes réunions que l’ISIPA soit une grande Institution d’informatique à l’echelle d’Afrique pourquoi pas international et aux membres de la famille qu’ils demeurent un (1), indivisible, la mort ne puisse pas être l’obstacle de la division.
Par Andy Mbengay