Urgent : Denis kadima élu président de la Commission électorale nationale indépendante

Religion : Le prophète Rémy Flamme MANGWAMBA de la Mission évangélique Galilée exhorte les fidèles sur leur responsabilité

Par Christian Nyamabu Kabeya

« La vérité et le réalité » , ce thème extrait du livre des Ephesiens 4: 20-21 et Romains 12:22 était au centre de la prédication du culte ordinaire du dimanche 25 Juillet 2021 au sein de l’Assemblée des vainqueurs située dans la commune de Lemba.

L’ objectif de ce message était de faire découvrir au peuple de Dieu les responsabilités et tâches que Dieu leur a confié dans la vie quotidienne. » Dieu veut que nous puissions aller plus loin par rapport à ce que nous sommes car, la satisfaction est l’ennemi du progrès » a-t-il déclaré.

Faisant allusion à la vérité, le prophète Flamme a rappelé qu’elle est la parole de Dieu et c’est Jésus-Christ même qui est la vérité. Cette vérité marche de paire avec la réalité. Ici il faut également retenir le renouvellement de l’intelligence selon l’enseignement de l’apôtre Paul tiré de Romains 12:2.

Dans cet enseignement sous forme d’une conférence, L’homme de Dieu a également rappelé que tout changement commence par un état d’esprit.

Ainsi donc un appel est lancé à tous les croyants et non croyants de Kinshasa, de la République Démocratique du Congo et ceux du monde entier de participer à ses enseignements afin de sauver les âmes perdues et ramener le peuple de Dieu à la vie éternelle.

RDC: Emily Maltman chez Mboso pour proposer la collaboration de la Grande-Bretagne à la réussite de l’état de siège

Par Andy Mbengay

L’Ambassadeur de la Grande-Bretagne en poste en RDC, Mme Emily Maltman a été reçue en audience ce mardi 26 juillet 2021, auprès de l’honorable président de l’Assemblée nationale, Christophe MBOSO Nkodia Pwanga.
Au menu de leurs échanges, politique, sécuritaire et économique de la RDC. Au sortir de cette audience, Emily Maltman a déclaré :

« Nous avons échangé sur le rôle de l’Assemblée nationale dans le gouvernement de l’état de siège et voir comment nous pouvons travailler ensemble pour que l’état de siège produise des résultats positifs.La Grande-Bretagne est aussi préoccupée par l’état de siège en tant que partenaire de la RDC et nous souhaitons voir ce pays stable et en paix et nous croyons aussi mettre fin aux conflits à l’Est. Car, cette situation de conflit ne permet pas la croissance économique du pays ».

Pour la diplomate britannique, avoir un conflit dans une partie du pays, cela évite beaucoup d’investisseurs et entrepreneurs qui veulent investir en Afrique et préfèrent aller ailleurs.

« Mettre fin à l’activité des groupes armés dans l’Est du pays contribuera non seulement à la consolidation de la paix et de la stabilité mais aussi à la prospérité du pays », a-t-elle estimé par ailleurs.

Mme Emily Maltman en a profité pour lancé un appel à la communauté internationale au sujet de la situation de l’Est de la RDC.

« Nous discutons souvent entre nous pays internationaux qui sont représentés ici et nous travaillons avec le gouvernement congolais voir comment accompagner cette stratégie de restauration de la paix. Sans oublier les acteurs importants comme la Banque mondiale, le FMI. Eux aussi, leur niveau, vont apporter leur contribution dans la lutte que nous menons ».

Maï Ndombe: Début des examens diocésain édition 2020-2021

Par Tarro Etiba

Début ce lundi 26 juillet 2021, à lnongo des examens diocésain édition 2020-2021. Epreuves composées d’habitude par le coordinateur diocésain gestionnaire des écoles catholiques se trouvant dans un espace donné.

Au total 438 finalistes du primaire des écoles catholiques passent ces épreuves habituellement appelés Exadio. Les participants à ces épreuves dans la ville d’Inongo sont répartis dans deux Centres.

À savoir : la grande salle de l’Institut Tosalisana et celle du Lycée Bondeko.

Composé par le coordonnateur diocésain, cette évaluation a pour objectif, jogger le niveau des élèves finalistes du primaire et mieux les disposer à affronter le TENAFEP qui profine à l’horizon.

Les résultats de ces épreuves vont nous permettre d’établir la liste d’orientation des élèves lauréats du primaire vers les écoles secondaires, a- indiqué, l’abbé Coordonnateur Diocèsain, Alfred Mbula Mabusa.

Comme à la coutumier, ces épreuves vont durer trois jours soit du lundi 26 juillet au mercredi 28 juillet de l’année en cours, s’organisent chaque année à travers toutes les écoles du Diocèse d’Inongo renseigne, le comité organisateur c’est-à-dire la coordination diocésaine.

Mines : La désignation de deux mandataires ad intérim à la tête du CEEC n’est pas contraire à la loi (Mise au point)

La nomination par la ministre des Mines de Justin Kiela et Freddy Muamba, respectivement comme président du conseil d’administration et directeur général intérimaires du Centre d’Expertise, d’Evaluation et de Certification des substances minérales précieuses et semi­précieuses (CEEC) n’est nullement contraire à la loi.

Selon une mise au point parvenue à Actu30.cd ce dimanche 25 juillet, la désignation de ces deux mandataires pour assurer l’intérim au sein de cette institution repose sur l’article 16 des statuts du CEEC.

Cette disposition légale consultée par Actu30.cd stipule : « Le Centre est géré par un Directeur général assisté d’un Directeur général adjoint, tous nommés, relevés de leurs fonctions et, le cas échéant, révoqués par Ordonnance du Président de la République, sur proposition du Gouvernement délibérée en Conseil des Ministres. Ils sont nommés pour un mandat de cinq ans, renouvelable une fois; Ils ne peuvent être suspendus à titre conservatoire que par Arrêté du Ministre de tutelle qui en informe le Gouvernement. En cas d’absence ou d’empêchement, l’intérim du Directeur général est assuré par le Directeur général adjoint ou à défaut, par un Directeur en fonction, désigné par le Ministre de tutelle, sur proposition de la Direction générale ».

Au regard de l’article 16 des statuts du CEEC, ladite mise au point rapporte que le directeur général adjoint n’est point le seul cadre qui peut assurer, en cas d’empêchement, l’intérim du directeur général, mais il peut aussi s’agir d’un autre directeur désigné par l’autorité de tutelle, en l’occurrence le ministre des Mines.

Contrairement aux allégations relayées notamment sur la toile, « l’ordonnance nommant Pascal Nyembo comme directeur général du CEEC n’a nullement mentionné que son adjoint devrait assurer son intérim« , indique ladite note.

Le directeur général du CEEC Pascal Nyembo mais aussi le président du conseil d’administration Alexis Mikandji ont été suspendus, à titre conservatoire par la ministre des Mines Antoinette N’Samba, conformément au rapport de l’Inspection générale des finances (IGF) à l’issue du contrôle réalisé dans cette entreprise.

Freddy Muamba désigné DG a.i du CEEC est licencié en gestion commerciale et financière et expert du ministère des mines aux USA. Il a gravi des échelons au sein de cet établissement public.

Il a été au sein de ce service public rattaché au ministère des mines, directeur provincial de la province du Nord-Kivu, directeur provincial de la Tshopo, chef de division de budget et flux monétaires, assistant de l’administrateur directeur financier, assistant financier et caissier comptable.

DNL

Un athlète ougandais en cavale à Tokyo juste avant les Jeux olympiques et laisse une lettre derrière lui

Par Andy Mbengay

D’après le média en ligne, letribunaldunet, Julius Ssekitoleko a disparu dans la nature. Cet Ougandais a profité de sa présence à l’étranger pour fuir son pays .

Le sportif a laissé une note à son hôtel, dans laquelle il donne des détails sur la raison de sa fuite.

Il profite de sa présence au Japon pour s’enfuir, le jeunes sportif était au Japon depuis plusieurs, envoyé par le comité national de son pays, l’ Ouganda . Certaines compétitions débutent avant le lancement officiel des Jeux olympiques , notamment les qualifications en haltérophilie.

Le sportif de 20 ans a participé à plusieurs essais ces derniers jours à Tokyo mais il s’est fait éliminer le 5 juillet, mettant fin à son rêve de participer aux Jeux. Il a été aperçu aux abords d’une gare près de son hôtel le 16 juillet dernier. Depuis lors, il a totalement disparu.

L’haltérophile ougandais espère ne jamais rentrer en Afrique.
En date du 20 juillet, le sportif devait prendre l’avion et rentrer en Ouganda.

C’est en manquant son rendez-vous pour réaliser son test covid avant son vol, qu’on a remarqué son absence. Après enquête, il semblerait qu’il ait acheté un ticket de train pour Nagoya, une ville située à 200 km de son hôtel. De là, on a perdu sa trace.

La Fédération d’haltérophilie ougandaise ne l’a plus eu au téléphone depuis le 13 juillet 2021. CNN indique qu’une lettre a été laissée par le sportif, dans laquelle il écrit ne pas vouloir retourner en Afrique et préfère trouver du travail au Japon.

Il demande aussi que la délégation ougandaise renvoie toutes ses affaires à sa femme.

En 2018, deux sportifs ougandais avaient profité de leur participation aux Jeux du Commonwealth en Australie, pour s’enfuir.

En 2014, deux rugbymen ougandais avaient également pris la fuite aux Jeux du Commonwealth, en Écosse.

Les rugbymen ont demandé l’ asile et jouent aujourd’hui au rugby dans une équipe de Cardiff.

Page rose: la warrior Antoinette N’Samba Kalambayi, souffle d’une bougie de plus

Par Andy Mbengay

 » Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David ne crains pas de prendre avec toi marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit; elle enfatera un fils, et tu lui donnera le nom de Jésus; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés  » dit les saintes écritures.
Ce passage biblique a pris forme, ce lundi 26 juillet 2021, dans la vie d’une personne  » Mme Antoinette N’Samba Kalambayi, Ministre des Mines.

Son Excellence Mme Antoinette N’Samba Kalambayi, Ministre des Mines

C’est plus qu’un bon jour ou qu’une pensée, c’est peut-être un simple souhait, mais il est plein d’amour, votre année de naissance fait partie des belles années.

Pas besoin de remonter le temps pour le savoir, il suffit de vous regarder : d’année en année, vous gagnez en élégance, en sagesse incommensurable, voilà pourquoi sur des nuages plein d’amour nos pensées douces sont versés vers vous, Son Excellence notre maman, Antoinette N’Samba Kalambayi. De ce fait, sur les plages des sentiments nous sommes devenus votre amant, alors une vague de sensations
nous met en émotion.

O tempora ! O mores, oh temps, oh mœurs ! disent les latinistes

Les médecins ont du mal à trouver votre secret, vous ne respectez aucun régime alimentaire, vous ne mangez que des plat consistant, votre vie sentimentale et professionnel est comme une mer déchainée… Et cependant, vous êtes en pleine forme et vous avez l’air d’une jeune de 18 ans. Alors allez, continue de défier les lois de la nature. Hip hip hip houra ! Bienvenue au monde, Son Excellence Mme Antoinette N’Samba Kalambayi, Ministre des Mines.

Joyeux anniversaire !

RDC : Yannick Nsiesila invite les parties prenantes à faire preuve d’une maturité élevée pour doter le pays des élections transparentes et crédibles en 2023

Par Christian Nyamabu Kabeya

Aussitôt informer de cette invitation lancée en vue de la désignation du président de la CENI ce vendredi 23 juillet au Centre interdiocésain à Kinshasa.

Selon Yannick Nsiesila, président de la fondation qui porte le même nom, le consensus autour des réformes électorales. A-t-il indiqué, au sujet de la procédure amorcée par les confessions religieuses pour la désignation des membres du prochain Bureau de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI). Sont obligés de travailler pour doter la République Démocratique du Congo, d’un processus électoral crédible et apaise, afin de mettre fin à toutes sortes de malentendu qui peut intervenir après les scrutins de 2023.

Les chefs des confessions religieuses ont la détermination de tout faire pour conclure si c’est possible », a déclaré le président de la fondation Yannick Nsiesila. Le candidat qui sera désigné par consensus ou vote, devrait répondre à certains critères, notamment, un leadership et une éthique avérée, une maitrise de la gouvernance électorale et un courage exceptionnel de proclamer les véritables résultats issus des urnes.

Burundi: Évariste Ndayishimiye suspend les activités minières pour renégocier tous les contrats

Par africa 54infos/ActuCongo

Après avoir critiqué pendant plusieurs mois des contrats avec plusieurs sociétés internationales qui opèrent dans le domaine des terres rares, de l’or ou encore du Coltan, le Président burundais, Évariste Ndayishimiye a ordonné de suspendre toutes les activités d’extraction minière par ces sociétés depuis le 14 juillet, en attendant la renégociation des conventions qui les lient, comme le ministre en charge des Mines le confirme à RFI.

« Nous sommes assis sur un véritable trésor ! », « l’avenir est prometteur ! » ou encore « le Burundi va dire adieu à la pauvreté ! » : ce sont là quelques-uns des mantras qui revenaient régulièrement dans la bouche du défunt Président burundais, Pierre Nkurunziza durant ses dernières années de pouvoir, lorsqu’il faisait miroiter aux yeux de ses compatriotes les revenus qu’ils allaient bientôt tirer de la vente des minerais dont « regorge » le sous-sol burundais.
Pour le pouvoir burundais en effet, le Burundi est tout comme son voisin congolais : « un scandale géologique » passé inaperçu parce qu’ils avaient les yeux fixés sur l’immense République Démocratique du Congo.
Le régime de Nkurunziza va multiplier la signature de contrats avec des investisseurs étrangers, dont le britannique Rainbow Rare Earths Ltd, qui obtient un permis d’exploitation des terres rares du périmètre de Gakara, à l’est de Bujumbura, en 2015.

Le Burundi traverse alors une grave crise née de la décision de Nkurunziza de briguer un troisième mandat.

Une société de droit burundais, Rainbow Mining Burundi, est constituée. La multinationale y détient 90% des actions, et 10% reviennent à l’État burundais conformément au Code minier du pays. Elle va commencer à exploiter le gisement de Gakara présenté comme l’un des plus prometteurs au monde grâce à sa teneur en terres rares, en 2017.

Les contrats se multiplient, mais pas en faveur des locaux

Le Burundi place alors de grands espoirs dans cette exploitation, la seule en Afrique et l’une des rares en dehors de la Chine qui détenait jusqu’ici pratiquement le monopole dans la production des terres rares, utilisées de plus en plus dans les smartphones, les écrans de télévision, etc.

Depuis, le gouvernement burundais a multiplié la signature de conventions avec des intérêts russes ou chinois, qui vont constituer des sociétés minières de droit burundais sur le modèle de Rainbow Mining Burundi : 90% d’actions pour l’investisseur étranger et 10% pour l’État burundais, qui met à sa disposition son sous-sol et lui promet de nombreux avantages fiscaux notamment.
Tanganyika Mining va obtenir une concession pour exploiter l’or de Cimba dans la province de Cibitoke (nord-ouest), African Mining Limited pour exploiter l’or Muhwazi dans la province Muyinga (est), ou encore Ntega Holding va exploiter le Coltan à Runyankenzi dans la province de Kirundo (nord-est).

La population burundaise, dont 75% vit en dessous du seuil de pauvreté, se met à rêver à de lendemains meilleurs. Mais elle va vite déchanter, tout comme le pouvoir burundais.

« Depuis qu’elle a commencé à exploiter les terres rares de Gakara (en 2017), Rainbow Mining Burundi (RMB) a déjà exporté près de 2000 tonnes de concentré de terres rares », explique le ministre de l’Hydraulique, de l’Énergie et des Mines, Ibrahim Uwizeye.

« La société nous a dit qu’elle a vendu chaque kilo de concentré à moins de deux dollars américains le kilo (…), j’ai décidé de suspendre l’exportation de 400 tonnes qui avaient été déjà extraits en attendant qu’on vérifie la régularité des opérations sur ces exportations et qu’on procède à un meilleur partage même pour ce qui a déjà été exporté », a-t-il précisé.

« Ce réexamen est un préalable pour une renégociation de la convention qui doit suivre dans la foulée », a ajouté le ministre burundais.

Ibrahim Uwizeye assure que c’est la même chose qui s’est passé dans l’exploitation de l’or ou du Coltan : « le pays est en train de perdre énormément, alors qu’il compte sur ces revenus pour son développement ».

Signés dans l’opacité

Depuis le 14 juillet, le ministre a donc ordonné à toutes ces sociétés de suspendre toutes leurs activités en attendant la renégociation de ces contrats « dans un esprit gagnant-gagnant », explique-t-il. « On n’a pas touché à leurs permis d’exploitation, on leur a seulement demandé de suspendre leurs activités le temps de renégocier les conventions », a-t-il insisté.

« Tout le monde s’est rendu compte que par exemple pour l’exercice budgétaire 2020-2021, le Burundi tablait sur l’équivalent de 3 millions de USD comme ressources issus des mines, et ce chiffre a été divisé par deux pour l’exercice en cours, où il ne prévoit qu’un revenu de 1,5 millions USD », explique Gabriel Rufyiri, fondateur de l’Olucome en 2002 et figure de la lutte anti-corruption dans le pays.

Comment on en est arrivé là ? Le ministre est plutôt discret sur cette question très sensible, car ces conventions ont été signées sous le régime de son prédécesseur de l’actuel chef de l’État burundais. Pierre Nkurunziza a été récemment élevé au rang de « Guide suprême du Patriotisme » du pays, alors que le général Évariste Ndayishimiye assure « marcher dans les pas » de celui qu’il appelle le « grand-père de la nation ».

« Nous avions alerté dès la signature de ces contrats parce qu’ils ont été signés dans l’opacité totale, il n’y avait pas eu d’appel d’offres comme le prévoit la loi (…). Il y a également beaucoup d’allégations sur des cas de corruption sur chaque contrat », rappelle le Président de l’Olucome qui se réjouit de cette « décision de suspendre ces conventions en attendant l’adoption d’un nouveau code et la renégociation de ces conventions, car le pays voyait ses minerais sortir sans qu’il en tire le moindre bénéfice ».
Rfi.

Bukavu : évolution des travaux de reconstruction du mur de protection du dalot du collecteur kawa PK O, place de l’indépendance sur la RN5

Par Pascal Mwinyi

Sous financement du Trésor Public à travers le Fonds National d’Entrettien Routier ( FONER), l’Office des Routes Sud-Kivu évolue très bien avec les travaux de la lutte anti-érosive au niveau de la Place de l’indépendance dans la ville de Bukavu après trois jours du démarrage.

Hors intempéries, ces travaux de construction des deux murs de soutènement du collecteur de la rivière Kawa situé au niveau de la Place de l’indépendance au PK 0 de la RN5 vont durée 3 mois.

Ce vendredi 23 Juillet, l’Office des Routes est entrain de faire les ferraillages et bétonnage de la semelle de fondation du mur de soutènement en amont du dalot sur la rive droite la journée et la nuit.

Le Directeur Provincial de l’Office des Routes Sud-Kivu, Anicet Kakesa Tamukombo rassure les usagers que ces travaux arriverons à la fin car les moyens de sa première phase est disponible en attendant le décaissement de la deuxième phase pour l’élargissement du collecteur Kawa [•••].

Ces travaux sont supervisés par l’ingénieur Yves Kikunda, chez de brigade a.i de la 502 brigade des travaux d’entretien sous la mission de contrôle du Bureau Technique de Contrôle (BCT) dirigée par l’ingénieur Roger Kipanga.