Par Andy Mbengay
Après leur sacre au teste d’admission à l’École Nationale d’Administration ENA en sigle, 43 agents ayant reçus à ces épreuves étaient bénéficiaires d’une commission d’affectation collective N°22 du 29 octobre 2016 signée par le ministre de la fonction publique Pascal Isumbisho Mwapo et certifier par l’actuel Ministre des finances José Sélé Yalaguli. Ayant plusieurs casquettes sociales, les 43 agents de Douanes et Accises croupies dans la misère au moment ou le garant de bon fonctionnement des Institutions du pays Félix Tshisekedi fait de son cheval de batail la lutte contre le chômage et les inégalités sociales dans l’intérêt d’amélioration les conditions sociales de congolais. Le Directeur Général de la DGDA, Jean-Baptiste NKongolo Kabila se tape le luxe et décide ne pas obtempérer malgré les correspondances lui adressées.
» Excellence Monsieur le Président de la République, nous ne savons plus à quel saint se vouer après avoir épuisé les voies de recours administratif au cours de cinq (5) dernières années sans que le DG de la DGDA manifeste la moindre volonté de nous rendre justice qui est une valeur fondamentale pour notre Nation et restaurer véritablement l’État de droit en République Démocratique du Congo. Le Directeur Général s’accapare de notre droit le plus légitime en refusant mordicus de nous mettre en service à la DGDA conformément aux lois de la République et à l’article 36 de la Constitution qui consacre le travail comme un droit et un devoir sacré à chaque congolais sans distinction de tribu, de religion, de classe sociale ou d’appartenance politique « , révèle la Dynamique des agents de l’Administration publique.
Ci-dessous la decision du Ministre d’État de la fonction publique sur les 43 agents bénéficiaires d’une commission d’affectation collective N°22 du 29 Octobre 2016 à la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA en sigle) après leur sacre au teste à l’ENA.
Outre les deux grandes décisions saboter par le Directeur Général de la DGDA Jean-Baptiste NKongolo Kabila, le nepostisme, l’injustice ainsi que l’insurbordination ne laissent point la place à l’équité moins encore à l’égalité dans cette Entreprise Publique de l’État où la gestion du plus fort se redynamise à l’image d’une société privée ont-t-ils précisé.