Mines: Benoît Pierre Laramée, porteur d’une invitation à Mme Antoinette N’Samba Kalambayi pour la participation au forum Mining africa au Canada

Par Andy Mbengay

La Ministre nationale en charge des Mines, Antoinette N’Samba Kalambayi s’est entretenue dans la matinée de ce Mardi 19 Avril 2022, avec l’Ambassadeur du Canada accrédité en RDC, Benoît Pierre Laramée dans son cabinet de travail à Gombe.

Pour le diplomate Canadien, cette rencontre lui a permis de présenté officiellement à la Ministre l’invitation pour une allocution en Juin prochain au forum minier qui se tiendra à Toronto (Canada) au mois de juin.

Au sortir de cette audience, Benoît Pierre Laramée a eu de mots juste pour éclairer les chevaliers de la plume.

 » Comme vous le savez, le Canada est un grand pays Minier, on est tout à fait prêt pour développer notre relation particulièrement dans le secteur minier, en même temps, je suis venu apporter à Madame la Ministre, l’invitation officielle pour un forum Mininig africa qui se tiendra à Toronto (Canada) en Juin prochain.

Et d’ajouter,

 » Le forum va donner l’opportunité à la Ministre nationale en charge des mines, Antoinette N’Samba Kalambayi de mettre en évidence tous les potentiels Miniers qui existent en RDC, de façon qu’elle puisse attirer des investisseurs pour développer l’industrie minière, et entrer aussi en contact avec des entreprises qui vont permettre de mettre en valeur aussi ces potentiels miniers soit par la cartographie où par la géophysique et d’autres services qui pourra servir à la RDC « .

Très réceptive et surtout engagée pour le développement du pays dans son secteur, la Ministre des Mines, Antoinette N’Samba Kalambayi s’est dite intéressée d’autant plus qu’il s’agit de mettre en valeur la RDC auprès des miniers internationales.

Selon l’Ambassadeur du Canada en RDC, au total, plus de 350 participants dans le monde sont intéressés par le secteur minier en Afrique.

RDC: Muhindo Nzangi à Mbuji-Mayi pour le lancement des travaux de construction de l’Université Officielle de Mbuji-Mayi (UOM)

Par Justin kadima

Le Ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU) Paul Muhindo Nzangi est arrivé à Mbuji-Mayi ce lundi 18 avril 2022.

Il a été accueilli au bas de la passerelle par le Ministre provincial de l’Education, le Professeur Lazare Tshipinda, recteur de l’Université Officielle de Mbuji-mayi (UOM), la directrice générale de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM) et plusieurs chefs d’établissements de l’enseignement supérieur et Universitaire du Kasaï Oriental.

Après l’étape de l’aéroport de Bipemba, le Ministre de l’ESU s’est rendu au gouvernorat de province où il a rendu une visite de courtoisie à la gouverneure intérimaire du Kasaï Oriental, Jeannette Longa Muswamba.

A l’issue de l’entrevue avec l’autorité provinciale, le Ministre Muhindo Nzangi Butondo a signifié qu’il est venu à Mbuji-Mayi pour trois grandes activités majeures:

« Je suis au Kasaï Oriental pour matérialiser la vision du chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi qui fait de l’enseignement supérieur et universitaire son cheval de bataille. Je vais lancer les travaux de construction de l’Université Officielle de Mbujimayi et l’UOM sera une grande Université de Référence pour le grand Kasaï, ensuite je vais faire la caravane du système LMD, un nouveau système de l’ESU. Je vais également avoir une grande rencontre avec tous les chefs d’établissements » a-t-il précisé à la presse.

La présence du ministre de l’ESU au Kasaï Oriental va tant soit peu résoudre les problèmes liés à l’enseignement supérieur et universitaire notamment celui des institutions supérieurs et Universitaire fermées par les différents arrêtés du Ministre Muhindo Nzangi.

Processus électoral en RDC: Christophe Mboso échange avec les délégués de l’UA et UE

Par Andy Mbengay

Le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso N’Kodia Pwanga, a reçu, ce lundi 18 avril 2022 dans la matinée, tour à tour M. Guillaume Chartrain, chef de délégation adjoint et chef de section politique, presse et information de la Délégation de l’Union européenne en République démocratique du Congo et Mme Michelle H.N Ndiaye, représentante spéciale du président de la commission et chef de bureau de liaison de l’union africaine en RDC.
Dans le cadre des échanges réguliers avec les membres du corps diplomatique en général, et en particulier avec l’Union européenne, le speaker de la Chambre basse du Parlement a discuté avec le diplomate européen sur l’avancée des discussions autour de la réforme sur la loi électorale.
Sur cette question, a dit le diplomate européen, s’est voulu rassurant sur l’avancée de discussions au sein du Parlement.
« Nous suivons les discussions entre parlementaires, sans nous immiscer. Nous sommes prêts à accompagner la RDC à ces élections en 2023 et nous suivons avec attention le déroulé, la mise en place des conditions préalables à la tenue en 2023 afin de déclencher notre accompagnement », a dit le diplomate Chartrain.

Avant de préciser en ces termes : « Il y aura un accompagnement de l’Union européenne sur ces élections, comme c’était le cas lors des cycles précédents, mais qui reste à définir et déterminer dans les mois à venir ».
Avec Mme Michelle H.N Ndiaye, représentante spéciale du président de la commission et chef de bureau de liaison de l’union africaine en RDC, l’honorable président de l’Assemblée nationale a également échangé sur le processus électoral dont le débat est en cours au sein de l’Assemblée nationale.

« Nous avons un débat franc sur les difficultés rencontrées, les défis et les opportunités qui existent aujourd’hui pour qu’il ait des élections crédibles et transparentes en RDC en 2023. L’Union africaine souhaite un cycle électoral apaisé et des élections transparentes en 2023. Plusieurs éléments plaident en la tenue d’élections apaisées et transparentes. D’abord, ce dialogue au niveau de l’Assemblée nationale, entre députés; la manière dont les choses vont être abordées dépendra, bien sûr, de la volonté de chacun de travailler sur la réforme de la loi électorale et ce débat doit avoir lieu au sein de l’Assemblée nationale sur les différentes propositions qui viennent de différentes parties prenantes à ce processus », a déclaré Mme Michelle Ndiaye au sortir de l’audience.

Uvira: des morts et blessés dans un accident de circulation sur la plaine de Ruzizi

  1. Par Pascal Mwinyi

Deux morts sur place et des blessés, c’est le bilan provisoire d’un accident de circulation survenu ce dimanche 17 Avril dans la plaine de la Ruzizi sur la RN5. L’on signale que le corps du chauffeur était coincé en dessous du camion tombé sur le pont Kavuguvugu situé entre les localités Kagurube et Mikamba du Groupement de Runingu, chefferie de Ba Fuliru dans le Territoire d’Uvira.

L’accident s’est produit dans la matinée soit vers 7h 15′ au niveau de la rivière Kavuguvugu dans la plaine de la Ruzizi en territoire d’Uvira.

Ces deux Camions, l’un venait de Misisi en territoire Fizi et l’autre de Bukavu. Ils se sont croisés sur le pont.

Selon Mr Matthan Ahadi Byamasu, Vice Président du conseil local des jeunes de la Chefferie de Bafuliru, l’imprudence de deux chauffeurs qui se précipitaient chacun de passer le premier sur le pont, serait l’une des causes de cet accident.
Le corps du chauffeur reste coincé, l’intervention des engins de la MONUSCO serait une solution rapide pour le récupérer.

Implémenter la bonne gouvernance dans la gestion des entreprises publiques, cheval de bataille de l’IGF

Invitée au dîner-débat organisé vendredi 15 Avril 2022 par l’Association nationale des établissements publics et entreprises du Portefeuille, l’Inspection générale des finances (IGF), par l’entremise de son numéro un, Jules Alingete, a donné les raisons profondes ayant milité en faveur de la mise sous contrôle de gestion des entités étatiques.

En effet, le président de la République, Félix Tshisekedi, ayant fait l’amère constat d’une prédation aggravée dans le chef des mandataires publics, a décidé d’y mettre un holà. En implémentant la bonne gouvernance dans l’objectif de l’ériger en norme.

Et il fallait pour la plus haute hiérarchie du pays de raviver la mission principale dévolue à l’IGF, comme l’expliquait Jules Alingete, en vue de mettre un terme à la prédation rampante qui s’est enracinée dans les mœurs.

Pour ce faire, il lui a été confié entre autres missions, en plus d’arrêter la saignée, de régler les questions en lien avec les arriérés de salaires et de rationaliser le paiement des avantages dûs aux mandataires publics.

En sus, le chef de service de l’IGF, a fait savoir aux participants qu’il était question de renouveler impérativement l’outil de production et l’instance qu’il dirige compte maintenir, pour le besoin de la cause, ses missions d’encadrement jusqu’à ce que l’implémentation de la bonne gouvernance soit réellement intériorisée dans la gestion de ces entités publiques.

Le jeu de questions et réponses qui s’en est suivi a permis d’éclairer encore davantage la lanterne des participants qui ont marqué leur intérêt à mieux comprendre les missions essentielles de l’IGF.

Mines: la Ministre Antoinette N’Samba Kalambayi a rencontré l’assentiment des sénateurs

Par Andy Mbengay

Une question orale avec débat a été adressée à la Ministre des mines, Antoinette N’Samba Kalambayi par la sénatrice Victorine Lwese, le mardi 05 Mars dernier sur la situation troublante qui s’est produite récemment dans la province du Sud-kivu où les responsables de deux sociétés minières ont refusé de recevoir dans les installations, une mission officielle conduite par le Ministre provincial des mines de cette partie de la République ainsi que la gestion sur l’exploitation minière illicite en RDC.

A cet effet, plusieurs préoccupations ont été soulevées par les élus des élus.

C’est finalement, le jeudi 14 Avril de l’année en cours que la Ministre a eu de mots juste pour éclairer la lanterne des sages de la République, sur leurs 45 questions.

Abordant, les sujets liés au Fonds Miniers pour les générations futures, qui offre plusieurs possibilités de fructifier ces fonds, partant du financement de tout ou partie des projets de recherches dans le domaine minier à travers le Service Géologique National du Congo, de la prise des participants dans les entreprises impliquées dans la transformation locale des produits miniers et de carrières, le placement des fonds dans les institutions financières et bancaires en vue de générer des intérêts à son profit, l’appui financier aux Entreprises du portefeuille sous forme de prêts rémunérés en vue du développement des projets miniers, de financement des PME et PMI à Impact pour les générations futures, la Ministre Antoinette N’Samba Kalambayi s’est résolue en disant que, son Ministère ne cesse de travailler pour donner les orientations claires aux animateurs de cet organisme qui, du reste posent leurs tâches, ceci, afin que les dividendes certains à tirer des activités du Fomin profitent réellement aux congolais.

Cependant, Antoinette N’Samba Kalambayi dans sa lutte contre la présence massive des étrangers qui évoluent dans les sites d’exploitation artisanale telque prescrit dans le code minier a tout de même signifier aux sénateurs que, la transversalité des facteurs de cette tragédie ne permet pas au Ministère d’en venir au bout des faits décriés.

Après avoir rencontré l’avis favorable des sénateurs notamment, la question liée à l’Entreprise Général de Cobalt, la société d’exploitation de Kipoi (SEK), la société Alphamin, la Miba, O,3 % du chiffre d’affaires pour les communautés locales etc…, l’auteure de la question orale avec débat, la Sénatrice Victorine Lwese est revenue au perchoir pour émettre plusieurs recommandations entre autres, interdire l’exploitation des minerais à l’état brutte, les services centraux et provinciaux des mines doivent être en contribution afin qu’il n’ait plus d’opérateurs miniers fantôme, construire décisive pour bénéficier de la valeur ajoutée des métaux de la RDC afin de ne plus demeurer en plein pieds mais plutôt une urgence pour booster l’économie du pays afin contribuer efficacement au développement de la nation.

Sud-Kivu: la coordination Provinciale de l’Action Maman Denise Nyakeru Tshisekedi (ANDT) a ses propres animateurs

Par Pascal Mwinyi

C’est avec une note de satisfaction que les cadres de l’Action Maman Denise Nyakeru Tshisekedi (ANDT) l’ont avoué dans un atelier idéologique tenu ce mercredi 13 Avril à Bukavu avec l’accompagnement des actions menées par la première dame.

Mr Xavier Bachirongo et Mme. Jeacquis Kamunju ont remercié les formateurs au nom des participants. Ces derniers recommandent à la Coordination Nationale de poursuivre avec les enseignements pareils pour que la population comprenne la philosophie de Maman Denise Nyakeru Tshisekedi [•••].

Le Coordonnateur Provincial le Rév pasteur Jean Luc Bonane Kakinya lui aussi a remercié les formateurs venus du bureau national de Kinshasa: il s’agit de l’inspecteur Francklin Osongo et le formateur Samuel Bake. Ils recommandent aux participants de s’approprier les enseignements acquis [•••].

Ces cadres formés devenus formateurs ont la mission d’aller vulgariser cette idéologie dans leurs milieux respectifs.

L’ANDT est une association apolitique qui a comme mission de matérialiser les œuvres de la Fondation Denise Nyakeru intervenant dans plusieurs secteurs notamment: dans l’humanitaire, santé, éducation et catastrophes.

L’atelier avait eu lieu à l’hôtel Bulungu de la Commune d’Ibanda.

Programme de Développement local des 145 territoires: l’Ambassadeur Tunisien annonce à Sama lukonde des projets d’investissement des tunisiens dans divers secteurs de la vie nationale en RDC

Par Bébé Pius Mandjenga

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, a reçu, ce vendredi 15 avril 2022, à la Primature, l’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la Tunisie en République démocratique du Congo, Monsieur Bouzekri Rmili, qui a conduit auprès du Chef du Gouvernement, l’Investisseur tunisien Fakher Fakhfakh.

Il était question, pour le Premier Ministre, d’en savoir un peu plus sur l’intention des investisseurs tunisiens, qui veulent accompagner le Programme de Développement local des 145 territoires de la République démocratique du Congo.

Se confiant à la presse, l’Ambassadeur tunisien a souligné que plusieurs projets d’investissements sont envisagés par son Pays pour accompagner le Programme de développement local des 145, dans différents secteurs de la vie nationale.

« J’ai eu l’honneur d’être reçu en audience avec un grand homme d’affaires Tunisien, et avec mon collègue, par son Excellence, Monsieur le Premier Ministre, chef du Gouvernement. Nous sommes là pour parler des projets d’investissement et notamment le Programme présidentiel de Développement local des 145 territoires. La Tunisie aime très bien rester comme d’habitude aux côtés de la République démocratique du Congo. Mon cher compatriote, qui est un investisseur très connu en Afrique et un peu partout dans le monde, a voulu présenter quelques projets à son Excellence, Monsieur le Premier Ministre et voir beaucoup d’autres possibilités pour le financement de ces projets. Nous avons l’expérience dans plusieurs domaines et notamment dans tout ce qui est Santé, Énergie etc. Nous avons parlé également de la coopération triangulaire. Parce que comme vous le savez, la RDC et la Tunisie se connaissent très bien mais les deux pays ont d’autres amis qui veulent coopérer. Pour la Tunisie, c’est tout ce qui est Santé, Nouvelles technologies, c’est l’Industrie, c’est l’éducation, c’est le tourisme, car comme vous le savez, la Tunisie est parmi les pays très connus pour le Tourisme. Nous recevons chaque année, 10 millions de touristes. Donc nous comptons investir et voir avec nos amis les perspectives de cette coopération que j’espère bien très fructueuse comme d’habitude », a déclaré Bouzekri Rmili.

A en croire l’investisseur Tunisien qui s’est également exprimé devant la presse, il sera aussi question d’investir dans le secteur de la Formation professionnelle, Arts et Métiers. A l’en croire, des discussions sont déjà entamées avec la Ministre de tutelle pour la concrétisation de ce projet.

« Il faut aussi y ajouter la formation professionnelle. Son Excellence, Madame la ministre de la Formation professionnelle nous a invités dans ce sens. Elle cherche une collaboration et la Tunisie a une expérience pour ça. Tous ces investissements vont dans le sens de faire un saut avec votre pays, qui est notre deuxième patrie afin qu’on puisse aller dans le rang des pays les plus développés de l’Afrique », a dit en substance Monsieur Fakher Fakhfakh, l’investisseur tunisien.

Le Chef du Gouvernement s’est montré très réceptif vis-à-vis de ses interlocuteurs à qui il a promis une collaboration parfaite.

« Son Excellence, Monsieur le Premier Ministre, comme vous le savez, c’est quelqu’un de très professionnel, un vrai homme d’Etat qui aime beaucoup son pays. Il nous a bien accueillis. Il nous a promis toute l’assistance requise », a conclu l’Ambassadeur tunisien.

RDC: les enseignants du Kasaï 1 et 2 prennent part à un séminaire d’orientation sur le mécanisme de gestion des plaintes et la gestion des cas de VBG à Tshikapa

Par Franck Tshilomba

Dans le cadre du projet d’équité et de renforcement du système éducatif PERSE en abrégé, ces assises des 5 jours visent à établir les bases pour un enseignement primaire de qualité, renforcer les systèmes des gestions en vue de l’atteinte des des résultats sur le VBG dans les milieux scolaires.

Pour le Ministre provincial de l’enseignement, Antoine Bushabu Bope qui ouvert officiellement ces assises, ce cadre permet aux professionnels de la craie blanche d’avoir les notions qui le permettront à veiller sur la sécurité scolaire.

Antoine Bushabu Bope a par ailleurs salué la participation active des femmes dans ce séminaire, il a, par la même occasion invité les participants à mettre en pratique toutes les notions prises mais aussi sécuriser le milieu scolaire.

Notons que ces assises de 5 jours sont organisées et financées par la Banque Mondiale et regroupent les enseignants vénus des différents territoires de la province du Kasaï, précisément 29 sous divisions qui composent les deux provinces éducationnelles notamment Kasaï 1 à Tshikapa et Kasaï 2 à Mweka.

RDC: la RN3 Miti – Hombo-Walikale – Lubutu-Kisangani dans l’impraticabilitée, les transporteurs du Bukavu-Hombo alertent les autorités

Par Pascal Mwinyi

L’Union des associations des transporteurs et des Opérateurs économiques Bukavu – Kisangani en passant par Bunyakiri – Hombo alerte sur la dégradation très avancée du tronçon routier Miti – Hombo sur la RN3.

Impossible aujourd’hui d’arriver à Hombo/Sud-Kivu à la limite des territoires de Kalehe au Sud-Kivu et Walikale du Nord-Kivu.

Les camionneurs passent plusieurs jours embourbés dans les chapelets des bourbiers à partir de chez Padiri situé au Pk 25 de Miti en plein Parc National de Kahuzi Biega (PNKB) comme précise le Coordonnateur Provincial de cette association le Rév Pasteur Jean Luc Bonane Kakinya [•••].

Les usagers, les transporteurs, les humanitaires et autres sollicitent l’intervention des autorités locale, Provinciale et Nationale pour que ce tronçon routier soit réhabilité.

Les transporteurs comptent voir le Directeur Provincial de l’Office des Routes Sud-Kivu l’ingénieur Anicet Kakesa Tamukombo être leur intermédiaire entre les Gouvernements Provincial, Central et le FONER.

Cette route se présente aujourd’hui comme sans suite au manque d’entretien permanent après sa réhabilitation dans le cadre du Programme d’urgence des 100 jours du président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

La réhabilitation de cette route serait une solution durable pour mettre fin aux souffrances des populations des territoires de: Kalehe au Sud-Kivu, Walikale au Nord-Kivu, Lubutu au Maniema jusqu’à Kisangani riveraines de cette route d’intérêt général.