Après quelques heures d’interpellation et audition par le procureur général près la cour de cassation sur l’affaire de faux et usages de faux en écriture, le vice-premier ministre en charge de la justice est libéré.
Pour la petite histoire, Celestin Tunda était aussi reproché d’avoir autorisé le débat des projets de lois Minaku et Sakata à l’Assemblée Nationale. Projets qui ont suscité des soulèvements populaire pendant trois jours, occasionnant des casses et actes barbares dans la capitale congolaise.
Reste à savoir si cette procédure de flagrance aurait dans les jours avenirs occasionnés encore une autre interpellation.
Par Andy Mbengay